شبكة الإستخبارات الإسلامية

Genocide et purification ethnique de la Palestine: Le plan sioniste prevoit d'expulser toutes les populations Palestiniennes vers l'Egypte et la Jordanie, envahir le Golan syrien et repousser la frontiere Nord jusqu'au fleuve Litanie. La second niveau du plan sioniste sera de prendre, de diviser l'Egypte, l'Arabie Saoudite, decouper l'Iraq et la Syrie et casser le Pakistan. Le troisieme niveau du plan est de balkaniser et se saisir de toutes les richesses du Maghreb-Sahel (Libye, Tchad, Algerie, Mauritanie, Mali, Niger), afin qu'Israel prenne le controle direct des fournitures energetiques et minerais rares et essentiels vers le marche transatlantique ou Euro-reich.





Sur la carte, la regionalisation-balkanisation de l'Euro-Reich (marche transatlantique USA-UE), parallelement a la region MENA (Afrique du Nord-Sahel-Moyen Orient) sert a retablir de facto une oligarchie sioniste de type feodale et monarchique, derniere etape de la mise en place du nouvel ordre mondial voulu depuis Tel Aviv. La monarchie sioniste 'regionale' retablie, comme les Allemands au coeur de l'Europe le preparent, et la construction du temple de l'Antechrist-Dajjal a Jerusalem sont les dernieres conditions, avec l'argent electronique, a reunir pour l'arrivee du machiah du talmud. 

Sur les frontières avancées de Gaza, un œil vers le ciel, un autre vers l’ennemi

Gaza – CPI

Ni le froid extrême, ni l’heure bien avancée de la nuit n’ont pu dissuader le moudjahid Abou Bara de se rendre à une position avancée dans les frontières orientales de Khan Younes, dans le sud de la bande de Gaza.
Abou Bara, combattant des brigades d'Al-Qassam, branche militaire du mouvement du Hamas, confie au correspondant de notre Centre Palestinien d'Information que les heures où il est dans une position militaire avancée, à une courte distance des positions militaires des occupants sionistes, représente pour lui des moments des plus heureux.


Rester dans ces positions avancées est un phénomène appelé "Rabat" par les combattants. Il a commencé au cours de l'Intifada Al-Aqsa.

Plus le potentiel de la résistance palestinienne grandit, plus le phénomène prend de l'ampleur. Il représente une réponse adéquate aux forces d'occupation et à leurs incursions à répétition dans le secteur oriental. Les points de "Rabat" sont répandus selon une vision militaire claire pour affronter et repousser toute infiltration ou invasion sioniste.

La chaleur de la foi
 
Abou Bara montre à notre correspondant des vêtements spéciaux portés pour faire face à l’humidité et au grand froid, surtout à l’aube. Toutefois, la foi dans le Seigneur et le devoir efface tous les inconvénients de cette action.

Les combattants travaillent en solitaires ou en groupes de deux. Ils se cachent selon un programme bien précis destiné à mettre en échec les plans des occupants.
Les combattants passent leur temps à observer les mouvements de l’ennemi et à prier et réciter le saint Coran.

Les factions palestiniennes
 
Plusieurs factions palestiniennes participent à cette action, selon leurs capacités, dit Abou Attaya, membre des brigades An-Nasser Salah Ad-Din, et selon une coordination bien précise. La plupart des combattants aiment et essayent d’y participer, en dépit de tous les dangers, en particulier les jours où les occupants sionistes poussent leurs incursions vers l’escalade.

En effet, le "Rachat" est une action de tous les dangers. Les occupants sionistes cherchent et visent les combattants qui y participent. Des dizaines de combattants y ont laissé la vie. Un nouveau défi s’est créé ; les avions sionistes améliorent leur recherche, les combattants améliorent leurs manières de se cacher, des manières de plus en plus efficaces.

Cependant, les combattants refusent de nous parler de leurs astuces pour des raisons de sécurité, ce qui est logique.

Ce n’est pas un travail facile, dit Abou Bara, sous les chasseurs des occupants sionistes et sous les yeux des agents traîtres. Les combattants devront varier leurs moyens de déguisement et leurs positions.
Avec les moyens du bord, les combattants ont mis en échec plusieurs invasions sionistes, à l’est de la brande de Gaza. Auparavant, les sionistes avançaient sur des kilomètres. Maintenant, il leur est difficile de le faire même sur quelques mètres.

Avant, les forces spéciales sionistes surprenaient les villes palestiniennes, dit le moudjahid Abou Mansour. Actuellement, c’est impossible. Beaucoup d’entre eux sont tombés dans les pièges de la résistance palestinienne.

Disons enfin que cette action devient un acte de résistance, parmi beaucoup d’autres. Elle a montré son efficacité à mettre en échec les plans des occupants, à améliorer l’entraînement et l’ordre militaires chez les combattants, à renforcer la foi religieuse.

Acharnement sioniste pour changer la démographie de la sainte ville d’Al-Quds
 
Al-Quds occupée – CPI

Les autorités de l’occupation sioniste travaillent pour changer les frontières de la ville sainte d’Al-Quds, confirme l’institut Arij des études appliquées. Elles tentent, par ces changements, de donner à la ville musulmane une majorité juive. Pour arriver à leur fin, les occupants sionistes sont sur le point de construire une nouvelle ligne de leur mur de séparation discriminatoire. Ce mur avalera de nouveaux terrains palestiniens. Il rassemblera les grandes colonies entourant la ville, de façon à ce qu’elles soient à l’intérieur de ses frontières et de façon à ce que les groupes palestiniens, qui font partie de la ville, soient à l’extérieur.
L’institut parle aussi d’autres actions sionistes destinées à judaïser la ville d’Al-Quds, dans un rapport publié récemment. Il y a le projet de « la Grande Jérusalem ». Il y a aussi le prolongement de la route 50 (la route Menahem Begin). Cette route coupe les quartiers occupés en 1967. Cette route séparera le village de Beit Sfafa du village de Charafat. Elle confisquera plus de 20 hectares de leurs terrains.

La construction de cette route coûtera 1,1 milliard de dollars, et ses travaux viennent de commencer. Ils prendront fin, avec ses trois segments, fin mai 2015.

Au service des colons
 
Le rapport du centre Arij précise le parcours de cette route discriminatoire. Elle débute de l’intérieur de la ligne verte et va vers le sud où elle coupe lesdits villages. Elle continue jusqu’à la colonie de Gilo installée sur les terrains de la ville d’Al-Khalil. La route terminera sa route en rejoignant la rue coloniale 60. Ainsi, les colonies sionistes installées sur les territoires sud et nord de la Cisjordanie seront reliées.

Toujours selon Arij, la mairie sioniste de la ville occupée prétend que le but du prolongement de la route 50 serait de désengorger la circulation dans les banlieues sud de la ville. Mais si on regarde de près, on remarque que les premiers bénéficiaires de cette route seront les habitants de la grande colonie de Gosh Atsion et des autres colonies du département palestinien d’Al-Khalil. Ceux-là seront capables d’aller vers la ville d’Al-Quds et vers les territoires palestiniens occupés en 48 sans qu’un seul feu rouge ne les arrête.
L’objectif essentiel du prolongement de la route reste d’avaler un maximum de terrains palestiniens.

Trois étapes
 
La route comporte trois segments réalisés en trois étapes. La première se terminera en juillet 2014. La deuxième serait un tunnel souterrain et un pont qui serait terminé en janvier de la même année. Le troisième segment, qui va jusqu’aux colonies du fin fond du sud de la Cisjordanie, devrait se terminer en mai 2015.
Le rapport remarque que la mairie de l’occupation sioniste travaille d’arrache-pied pour rendre la vie plus facile aux colons, en essayant de relier leurs groupes entre eux et avec l'intérieur palestinien par ce projet. Ce même projet créera de nouvelles donnes sur le terrain et rendra la vie impossible aux Palestiniens, en particulier pour les habitants des villages de Safata et Charfat, au sud de la ville d’Al-Quds.

Séparer les deux villages
 
Cette route va bientôt séparer lesdits villages qui vivent depuis toujours côte à côte. Ils sont complémentaires, surtout au niveau des services. Pour atteindre certains services, les Palestiniens seront obligés d’emprunter des chemins de substitution, plus loin que les chemins actuels et plus coûteux.
 Toujours plus pour les colons, et pour les Palestiniens toujours moins.

 « La Porte du soleil », prélude d’une nouvelle Intifada ?

Naplouse – CPI

Sur les terrains du village palestinien d’Al-Zaïm, vers la ville sainte d’Al-Quds, les occupants sionistes avaient décidé de construire des milliers d’unités résidentielles coloniales, en application de leur projet appelé « E1 ».
Des centaines de Palestiniens ont alors décidé de défier la décision usurpatrice des occupants ; ils ont participé à l’installation d’un village symbolique qu’ils ont nommé « La Porte du soleil », le 11 janvier dernier.
Il est vrai que les occupants sionistes ont détruit ce village, avant qu’il ne voie vraiment le jour, mais cette action a été le prélude de plusieurs autres tentatives de genre. Il y a eu alors Bab Al-Karama (la Porte de la dignité), Al- Manattir, Bab Al-Horriya (la Porte de la liberté), vers Naplouse, Kasser Al-Qaïd (Rupture de la chaîne), vers Jénine.

Toutes ces tentatives, tous ces villages symboliques sont-ils le prélude d’une troisième Intifada, ou restent-ils des mouvements populaires de résistance pacifique contre l’occupation sioniste qui n’iront pas plus loin ?
Khaled Mansour est membre du bureau exécutif de la Campagne populaire de résistance contre le mur de séparation discriminatoire et contre la colonisation. Il voit dans la tentative de « La Porte du soleil » une sorte de créativité de résistance contre l’occupation. Ce qui est nouveau dans ces tentatives, c’est qu’elles marquent le début d’un nouveau stade de résistance. Les résistants auront l’initiative en main. La résistance était le fruit de réactions jusque-là ; désormais, les résistants prendront l’initiative et attaqueront, au lieu de rester toujours sur la défense.

Mansour croit que la résistance populaire est la route menant vers la liberté, vers la fin de l’occupation. Il faut que tous les efforts matériels et humains se réunissent afin de rendre les coûts de l’occupation trop élevés aux occupants.
L’expérience de la « Porte du soleil » ouvre la porte à de multiples actions de résistance possibles contre l’occupation. Les occupants comprendront qu’ils sont face à un peuple qui aime se voir libre, débarrassé de l’occupation. Arriver à ce but ne se réalisera pas uniquement par les négociations.

Un acte extraordinaire
 
Cette tentative de la « Porte du soleil » a perturbé les occupants ; elle les a pris de court. Ils ne savaient pas comment faire, comment la traiter. C’est une idée créative, jeune, qui sort de l’ordinaire, dit Mme  Loma Nazih. Elle est déjà devenue un symbole.

Il y a ceux qui appuient avec force cette action ; mais cette action et tous les mouvements populaires ne sont pas au goût de tout le monde. Certains y posent leur objection, et n’y donnent pas une grande importance, car, disent-il, les occupants sionistes ne comprennent que le langage de la force et ce qui a été pris par la force ne retournera que par la force.

Le chercheur en médias Ahmed Khodaïr est de ces derniers. Ces actions sont bien, cependant médiatiquement seulement. Elles ne libèrent pas un morceau de nos terres ; elles ne désinstallent pas un barrage des occupants. Elles ne font rien contre les colonies. Il ne reste qu’à pratiquer la résistance armée, l’Histoire en est témoin.

D’autres disent qu’il faut tout essayer. Toutes les actions sont bonnes tant qu’elles ont pour objectif de chasser l’occupant. Le jeune Mohammed Saada croit à la complémentarité de la résistance pacifique et de la résistance armée.

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